Candidate de deux secteurs dans un même CEP : Barbara Guillaume ou l’incarnation de l’indécence
Le président du Syndicat des planteurs visionnaires pour le développement de l’Artibonite (SPVDA), René Charles, se dit décontenancé en apprenant que Marie Barbara Guillaume, initialement candidate pour représenter le secteur paysan, a été élue par des organisations de femmes pour siéger au Conseil électoral provisoire (CEP).
Le processus de formation du CEP par le Conseil présidentiel de transition (CPT) dévoile tous les contours d’une démarche où tapissaient dans l’ombre manœuvres et combines de tout acabit. Derrière l’élection de Marie Barbara Guillaume se cache la dernière initiative éhontée et sans nom, approuvée par des figures pourtant réputées de modèles dans le secteur selon René Charles.
L’artiste engagée, Marie Barbara Guillaume, résolue à l’idée de faire partie du CEP, quelles que soient les conditions, s’était d’abord portée candidate pour le secteur paysan face à l’ancien conseiller électoral Jaccéus Joseph. Étonnamment, elle a été annoncée représentante du secteur «femme» au terme d’une élection controversée. Le président du SPVDA qui intervenait lundi sur les ondes de Radio Kiskeya a mis en garde les organisations paysannes qui comptaient barrer la route à Marie Barbara Guillaume. Néanmoins, quarante huit heures après, le syndicaliste se dit étonné d’apprendre que l’artiste a changé de camp pour endosser les secteur «femme».
Mardi, en dépit de nombreuses voix multiples contestant le processus, seulement 5 organisations, non représentatives, ont jeté leur dévolu sur Marie Barbara Guillaume, dans un processus opaque, ont dénoncé plusieurs leaders de regroupement de femme. Pour masquer les apparences «Kay fanm» a défendu le vote en évoquant la mobilisation des électrices par visioconférence. Finalement, plusieurs votants ont manqué à l’appel.
Ces dénouements, de l’avis d’une plateforme regroupant plus d’une centaine d’organisations évoluant dans les provinces, entendent fragiliser le processus électoral, initié sous des faux pas. Dans cette perspective, plusieurs organisations ayant désigné Yves Marie Édouard, lors de l’élection sous l’égide du Dialogue inter-femme (DIFE), appelle le CPT à assumer ses responsabilités dans ces mascarades à la saveur insipide.
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