Menaces et persécutions politiques: solidarité agissante au directeur exécutif du RNDDH !

Des entités politiques et des figures de la société civile rappellent aux dirigeants du PHTK, instigateurs d’une vaste campagne de calomnie et de persécutions politiques contre le directeur exécutif du Réseau national de défense des droits humains (RNDDH), Pierre Espérance et son équipe, que les temps sont révolus.

Le coordonnateur national du MOPOD, Jean-André Victor, dénonce les persécutions politiques dont est victime le responsable du RNDDH. En conférence de presse, vendredi, au local de l’organisation, il renouvelle les trois propositions relatives à la lutte pour mater les gangs. La nécessité d’un réveil collectif, la mise en place des réseaux de brigades de vigilance et l’activation de ces corps de brigadiers pour faire échec aux bandits s’imposent, selon le dirigeant politique.

Position quasi-similaire exprimée par le dirigeant de «Cohorte patriotique» sur l’insécurité et les attaques orchestrées par des gros bonnets du régime PHTK contre le défenseur des droits humains. Francisco Alcide, annonce la tenue au 12 avril prochain, d’un sit-in devant le bureau du RNDDH pour dénoncer le comportement des décideurs face au pourrissement du climat de l’insécurité.

D’autres voix du milieu politique et de la société civile condamnent les sorties calomnieuses de Fednel Monchéry et appellent à la préservation des luttes, fruit de grandes conquêtes historiques. Le dirigeant de l’Alternative socialiste (ASO), le Dr Jean-Hénold Buteau, soutient que ces campagnes rappellent les premiers agissements du régime des Duvalier pour instaurer la peur et la violence.

La position du dirigeant de «Konbit des organisations politiques, syndicales et populaires» s’aligne dans le même esprit de condamner et d’interpeller la société sur l’obligation de se mobiliser contre l’intolérable. Josué Merilien désapprouve le plan concocté par les forces du mal pour éliminer des acteurs engagés dans la cause de la démocratie. Il rappelle au chef du PHTK et à ses alliés que le directeur exécutif du RNDDH Pierre Espérance n’est pas seul dans son combat.

Dans le même registre, le dirigeant du parti «Rasin kan pèp la», l’économiste Camille Chalmers apporte son plein soutien au responsable de l’organisation de défense et de promotion des droits humains. Il invite la population à se mobiliser contre l’agenda criminel proposé par Ariel Henry et ses patrons du PHTK visant à anéantir le pays pour normaliser la violence et les gangs armés.

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